
Après le vote pour la réforme de l'électricité à la Chambre des députés, le journaliste Epigmenio Ibarra a interrogé le rôle joué par les membres multiminaux des députés au sein du Congrès de l'Union.
Sur son compte Twitter officiel, le fondateur d'Argos Comunicación a indiqué que cette figure législative est née de la nécessité de représenter les minorités politiques lorsque le Parti révolutionnaire institutionnel (PRI) dominait tous les aspects du régime mexicain.
Cependant, il a jugé qu'à l'heure actuelle, les personnes qui arrivent dans les chambres sous ce chiffre représenteraient des « lobbyistes de sociétés transnationales », ses propos pouvaient faire référence à toutes les allégations de conflits d'intérêts entre législateurs et entreprises énergétiques.
« La figure des députés multimembres émerge comme un moyen pour les minorités d'être représentées, pas pour les lobbyistes transnationaux de voter », a-t-il écrit sur son compte Twitter officiel.
Et c'est que tout au long du dimanche 17 avril, le communicateur a suivi ce que faisaient les partis d'opposition et, comme ceux proches du projet Quatrième Transformation, les a accusés d'être des « traîtres à la patrie ».
Par un tweet qu'il a publié une fois qu'il a été annoncé que la réforme envoyée par le président Andrés Manuel López Obrador (AMLO) n'avait pas été adoptée car elle n'avait pas atteint les trois quarts des voix nécessaires, Ibarra a éclaté contre l'attitude manifestée à San Lazaro.
Dans les mots qu'il a partagés avec ses partisans, il s'est interrogé sur l'existence d'un « vote unanime » du bloc d'opposition, puisqu'il a pointé une telle conduite comme une trahison anticipée devant le peuple mexicain.
Cependant, il ne s'est pas arrêté à ses affirmations, puisqu'il a affirmé que tous ceux qui ont voté contre l'auraient fait, prétendument, sous la bannière de l'argent et de la colère.
Enfin, il a déclaré que, malgré le travail des autres instituts politiques, cette initiative ne servait qu'à maintenir un parti fort aux yeux de la population : le Parti révolutionnaire institutionnel (PRI).
Qui a également rejoint les revendications était la chef du gouvernement de Mexico, Claudia Sheinbaum Pardo, s'est lancée contre les parties opposées à la quatrième transformation après la discussion.
À travers ses réseaux sociaux, la présidente a rejoint les voix de la demande et a accusé les 223 législateurs qui ont voté contre d'avoir trahi le pays, puisqu'elle a assuré que pendant les plus de 11 heures de débat, il était possible d'observer qui sont ceux qui aiment le Mexique et qui sont ceux qui ont trahi le la confiance des électeurs.
Enfin, rejoignant une fois de plus la rhétorique du parti des cerises, Sheinbaum Pardo a souligné que c'est l'histoire qui remplacera tous les personnages qui ont voté contre l'initiative envoyée hier soir par le président Andrés Manuel López Obrador (AMLO) au Congrès de l'Union.
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